EVENEMENT : Les hommes ont répondu massivement à l’appel du 23 mars 2025 à Capesterre Belle-Eau


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lundi 24 mars 2025
Diocèse de Guadeloupe

La journée de récollection initiée par l’Aumônerie Diocésaine des Hommes a connu un franc succès dimanche 23 mars 2025, au Gymnase de Capesterre Belle-Eau. Ils étaient près d’un millier, venus de la quasi-totalité des paroisses de notre diocèse, à avoir fait le déplacement, répondant ainsi à l’appel de Mgr Philippe GUIOUGOU, évêque de Guadeloupe.

C’est la feuille de route de l’Aumônerie Diocésaine des Hommes pour cette année pastorale : relancer pastorale des messieurs à l’échelle des îles de notre archipel. Depuis la rentrée de septembre dernier, l’équipe constituée autour du Diacre José OBERTAN, l’aumônier diocésain, s’y emploie avec la meilleure énergie, permettant de faire germer des pastorales des hommes là où elles n’existaient pas ou tout le moins d’encourager leur création. Un travail de longue haleine qui consiste également à conforter l’existant, mais aussi à mobiliser les jeunes afin qu’ils prennent toute leur place dans cet élan missionnaire. Le tout dans un objectif prioritaire d’évangélisation.

Ce premier grand rassemblement organisé par l’Aumônerie Diocésaine des Hommes, au Gymnase de Capesterre Belle-Eau, dimanche 23 mars 2025, a donc été un vrai temps fort, qui a confirmé s’il en était besoin que tout ce qui a été semé ces derniers mois, a déjà commencé à porter du fruit. En témoigne, le succès incontestable de cette 1ère recollection qui a réuni un peu moins de 1.000 hommes ayant fait le déplacement en provenance des paroisses de pratiquement tout le diocèse, y compris des îles :  Marie-Galante, Terre-de-Bas, Terre-de-Haut, la Désirade. Une vraie réussite, saluée par Mgr Philippe GUIOUGOU, notre évêque, mais aussi par son vicaire général Père Gérard FOUCAN et bien entendu par le Diacre José OBERTAN.

Cette recollection fera date

Mgr Philippe avait souhaité d’emblée vivre ce rassemblement avec les groupes d’hommes, sous le regard du Seigneur. Ce fut effectivement un temps de grâce empreint d’une belle fraternité, de temps de prière, de réflexions très profondes et d’échanges sans filtres qui se sont révélés très fructueux. Des échanges plus particulièrement sur la place de l’homme dans la famille, dans les communautés chrétiennes, au travail et plus largement dans la société. Le thème qui a guidé cette réflexion était tiré de l’Evangile de Jean 15,5 « Sans moi, vous ne pouvez rien faire ». Une invitation en fait à l’humilité et à la confiance totale en en Dieu comme l’a souligné notre évêque.

« Dans un monde où l’autosuffisance et l’individualisme sont souvent glorifiés, Jésus nous rappelle que notre force, notre sagesse et notre fécondité spirituelle ne peuvent venir que de lui. Comme sarment attaché à la vigne, nous sommes appelés à demeurer en Christ, pour porter du fruit en abondance » a indiqué l’évêque de Guadeloupe. « Se rassembler comme nous l’avons fait, c’est reconnaître que nous avons besoin du Seigneur, à chaque instant de notre vie. C’est aussi affirmer notre volonté de nous laisser transformer par sa Parole, de grandir dans notre vocation d’hommes chrétiens, et de témoigner avec courage et fidélité de l’Amour de Dieu dans notre quotidien » a ajouté le pasteur de notre Eglise.

Le guide pratique des langages de l’amour

Durant cette journée particulièrement riche, les hommes ont pu s’exprimer librement sur leur vécu, leurs aspirations, sur ce qui les éloigne aussi de nos églises, sur les regards portés parfois s’agissant de leurs chemins de vie. Autant de sujets que Mgr Philippe GUIOUGOU n’a pas hésité à aborder dans l’enseignement qu’il a dispensé lors de ce temps fort, évoquant notamment les couples divorcés, remariés, en concubinage, pacsés ou autres, auxquels l’évêque demande qu’une attention pastorale soit portée, avec un vrai sens de l’accueil, de l’écoute, de l’accompagnement. Instant de vérité aussi et enseignement très riche, lorsque Mgr Philippe évoqua, s’appuyant sur l’un des ouvrages du Père Denis SONET, combien les langages de l’amour sont importants dans les couples pour mieux se comprendre et cheminer ensemble sous le regard de Dieu, exhortant chaque époux ou compagnon à voir son épouse ou compagne, comme sa « préférée » au sens de l’Eglise et non prioritairement comme sa « désirée ».

L’évêque de Guadeloupe a donc, devant un bon millier d’homme abordé clairement, de manière très libre et surtout avec une grande pédagogie, la question de l’intimité et de l’affectivité, du lien avec l’autre, de la capacité à aimer. « Quand je suis jeune avec mon épouse, il y a une relation. Mé lè an vié, que se passe-t-il ? Que reste-t-il principalement ? L’affectivité. Si je n’ai pas cultivé, construit l’affectivité avec mon épouse, la préférée et non pas seulement la désirée, ce qui ne veut pas dire que vous ne pouvez pas désirer votre épouse. Mais si je n’ai fait que là désirer que restera-t-il ? » a questionné Mgr Philippe s’adressant à cette belle assemblée d’hommes.

Ensuite, parcourant cet ouvrage, l’évêque de Guadeloupe a partagé volontiers ces écrits sur les langages de l’amour et qui pourrait servir bien des couples ou futurs couples. « Certaines personnes ont un besoin profond d’entendre des paroles d’encouragement, de gratitude et d’affection. D’autres au contraire ont besoin de s’entendre dire je t’aime et qu’on leur exprime de l’admiration. D’autres encore ont besoin de moments de qualité. Pour certains, l’amour se traduit par le temps accordé à l’autre : des moments d’échanges, d’écoute active, d’activités partagées sans distraction. Cela suppose une présence attentive et un réel investissement dans la relation. Certains enfin, comme langage de l’amour, ont besoin de services rendus ».

Les nombreux messages de Mgr Philippe pour les hommes de notre diocèse

Et le pasteur de l’Eglise catholique en Guadeloupe de poursuivre en ces termes. « Il y a des personnes qui se sentent aimées lorsque l’autre leur témoigne son amour par des actes concret : préparer un repas, aider dans les tâches du quotidien, rendre service sans qu’on le demande. Ces gestes traduisent un amour fait d’attention et de dévouement. D’autres ont besoin de touchés physiques. Pour eux, le contact physique est essentiel : une main posée sur l’épaule, un câlin, une caresse, un baiser, sont des marques d’amour indispensables. Ce langage est particulièrement important dans la vie de couple. Autre langage de l’amour, les cadeaux et les petites attentions. Certaines personnes perçoivent l’amour à travers des cadeaux, non pour leur valeur matérielle, mais pour la signification qu’ils portent, le fait d’avoir pensé à moi, de m’avoir offert quelque chose : une fleur, un mot doux, une surprise, montre que l’autre a pensé à moi ».

« Ce qu’il faut retenir c’est que chacun a un langage différent, chacun à une manière d’entrer en relation avec l’autre. A vous de vous demander quel est votre langage de l’amour. Nous avons des langages différents pour entrer en relation. Demandez-vous quel est votre langage d’amour mais aussi quel est le langage de votre épouse, de votre conjointe ? L’avez-vous compris, l’avez-vous décrypté ? Avez-vous cherché à savoir ce à quoi elle est plus attentive » a ajouté l’évêque dans ce bel enseignement qui avait pour thème « L’Espérance de croire en l’homme… en chaque homme ».

L’Eucharistie, grand moment de cette journée

Après cette matinée très dense rythmée par les chants des chœurs des hommes entre les temps d’échanges, ce fut le moment de partager le déjeuner fraternel, avant le mini-concert offert là aussi par la chorale des hommes et la messe de clôture de ce temps fort présidée par Mgr Philippe GUIOUGOU, avec les prêtres et diacres présents. Une célébration où les voix ont retenti à l’unisson sous l’impulsion de la chorale des hommes magnifiquement accompagnée par un groupe de musiciens de grands talents.

Pour ce 3ème dimanche de Carême, les textes de la liturgie nous invitaient à méditer l’Evangile de Jésus Christ selon saint Luc (Lc 13, 1-9), « Si vous ne vous convertissez pas, vous périrez tous de même ». Dans son homélie, notre évêque rappela pour parler de la conversion, qu’il y a toujours quelque chose à retourner, à changer en chacun de nous. « La conversion c'est se réorienter, prendre la bonne direction, ne plus avoir uniquement la tête tournée vers le sol, mais aussi vers le Seigneur. Si je me convertis c'est que j'établis ce lien plus fort entre ma vie de tous les jours et Dieu. Ma conversion est toujours liée à ce que le Seigneur a pu déposer dans mon cœur, dans mon esprit ou comprendre un jour sa parole et que cette parole vienne m'interpeller. Convertissez-vous chers frères. Convertissons nous ! Cette invitation n'est pas une menace mais au contraire une belle invitation ».  

Nous sommes une réelle force, pas la force qui écrase mais la force qui accompagne, qui accueille

Evoquant la deuxième partie de l’Evangile, où « Jésus disait encore cette parabole : Quelqu’un avait un figuier planté dans sa vigne. Il vint chercher du fruit sur ce figuier et n’en trouva pas. Il dit alors à son vigneron : Voilà trois ans que je viens chercher du fruit sur ce figuier et je n’en trouve pas. Coupe-le. A quoi bon le laisser épuiser le sol ? Mais le vigneron lui répondit : Maître, laisse-le encore cette année, le temps que je bêche autour pour y mettre du fumier. Peut-être donnera-t-il du fruit à l’avenir. Sinon, tu le couperas », Mgr Philippe a dit combien il est nécessaire de faire preuve de patience, surtout avec les jeunes, qui peuvent parfois faire des erreurs, chuter. « Nous devons être là pour les aider à se relever, à reprendre la bonne direction a dit en substance l’évêque. Cela vaut aussi pour leur orientation scolaire ou pour les études supérieures, à l’image de ce jeune qui était en licence de droit contre sa volonté et qui de tout temps était attiré par les métiers de la mécanique. Depuis qu’il a pu changer de voie, il fait son chemin et s’épanoui aujourd’hui dans le secteur de la mécanique aéronautique. Bel exemple. « Quelquefois le jeune ne réussit pas, non pas parce qu'il est mauvais, mais parce qu'il n'a pas trouvé sa bonne voie, son bon chemin » a affirmé l’évêque de Basse-Terre et Pointe-à-Pitre.

Citant cette fois, la bulle d'indiction du pape François sur le jubilé 2025 que nous vivons actuellement, Mgr Philippe souligné que pour vivre l'espérance il faut aussi de la patience, prendre le temps de laisser les choses mûrir, sans se décourager ou désespérer. Et quand l’Evangile du jour fait référence à l’urgence de la conversion, l’évêque de Guadeloupe précise les choses. « Sachez que Dieu est patient. S'il faut qu'il vous bichonne, qu’il mette du fumier autour de l'arbre de notre vie, qu’il remue la terre, il le fera pour que nous portions du fruit ».

La famille a besoin de vous !

« Je suis heureux que nous nous soyons rassemblés parce que je crois en l'homme, je crois aux hommes que nous sommes, que vous êtes, aux pères de familles que vous représentez, à ces responsables d'église, de société, du monde politique, pour que sans orgueil et en toute humilité nous œuvrions pour notre société. Alors avec quoi nous allons repartir de cette journée ? On pourrait dire pour satisfaire notre égo que nous avons rassemblé du monde, mais là n'est pas la bonne façon de voir les choses. Maintenant tout l'enjeu est pour nous, une fois de retour à la maison, en église est de savoir ce que nous avons retenu et ce que nous allons mettre en pratique. C'est là que le Seigneur nous attend. C'est là que les choses commencent. Aujourd’hui c’est une petite goutte mais continuez à être ces hommes dont notre diocèse, notre département a besoin, pou nou pé doubout, pou nou pé lévé, pour que nous puissions, comme je l’ai dit dans mon intervention, tout simplement porter un peu de bien-être, d'amour autour de nous. Nous sommes une réelle force, pas la force qui écrase mais la force qui accompagne, qui accueille là où vous êtes » a conclu Mgr Philippe GUIOUGOU dans son homélie.

De cette grande journée de recollection de l’Aumônerie Diocésaine des hommes, l’on retiendra également ce message que par la voix de notre évêque, l’Eglise catholique en Guadeloupe a adressé à l’ensemble de la gent masculine de notre diocèse. « La famille a besoin de vous. Une société où la famille est fragile, part en lambeaux, est une société perdue. Devons-nous nous résigner ou au contraire nous dire que chacun de nous peut contribuer à changer, à améliorer les choses, à sa manière. C’est ce que j’espère et que j’attends : que chacun dise nous pouvons faire tous ensemble. C’est en cela que je n’ai aucun complexe d’aller vers les uns et les autres, préfet, chefs d’entreprises, chacun d’entre vous, parce que ce n’est pas ma cause que je viens défendre. Je viens défendre la cause de notre pays de Guadeloupe, de ce lieu où nous vivons. Croire en l’homme, c’est croire que Dieu a donné à l’homme toutes les possibilités, tous les moyens d’agir ».

Le 27 mai, des messes au sein de notre diocèse pour les victimes de l’esclavage

Enfin, un autre marqueur fort de la volonté de Mgr Philippe GUIOUGOU, d’inscrire résolument l'Eglise au cœur de notre société, pour faire évoluer les choses, cette annonce faite par l’évêque concernant la commémoration de l’abolition de l’esclavage et le souvenir de la mémoire des victimes de cette période de notre histoire. Dès cette année 2025, le 27 mai, jour de la commémoration de cette abolition dans notre département, une messe sera célébrée au sein de notre diocèse pour les victimes de l’esclavage. Une décision prise en conseil épiscopal a tenu à préciser l’évêque, avec l’ambition de perpétuer cette intention portée par notre diocèse, dans le temps. 

Il s’agit ainsi pour notre Eglise catholique, à travers notre Pasteur, de prendre toute sa part dans ce devoir de mémoire, là où elle parfois pointée du doigt sur son rôle durant cette période sombre. « L’Eglise a pris sa part de responsabilité et de tort, elle a demandé pardon, mais elle a aussi fait des choses. Il y a des vérités qu’il faut rétablir. Nous tenons à marquer cette date non pas pour se victimiser, mais pour rappeler notre histoire. Bien d’autres rappellent leur histoire, avec des temps de cérémonies donc nous n’avons pas à rougir de cela. A travers cette démarche, nous souhaitons rappeler que c’est quelque chose qui se vit encore aujourd’hui. Donc si on fait mémoire, l’église sait aussi faire mémoire, l’église sait prier pour nos anciens, ceux qui ont été victimes, pour tout le monde, pour ceux qui sont encore victimes aujourd’hui. C’est pour faire avancer notre société » a expliqué Mgr Philippe GUIOUGOU.

Cette journée de recollection de l’Aumônerie diocésaine des hommes a donc tenu toutes ses promesses. Notre évêque avait appelé de ses vœux que ce temps fort soit un grand moment de communion fraternelle, mais aussi un temps de grâce où chacun puisse renouveler son alliance avec le Christ, renforcer les liens, grandir en espérance et repartir, fortifié pour sa mission dans l’Eglise, son foyer et dans le monde. Objectifs très largement sous la mouvance de l’Esprit Saint. Le Dieu de l’Espérance poursuivra, c’est certain, son œuvre dans les cœurs de chacun.

Thierry FUNDERE (Photos : Xavier CORIOLAN et Dimitri BAJAZET)

 

POUR ALLER PLUS LOIN

Comment réécouter l’enseignement de l’évêque ?

L’intervention de Mgr Philippe GUIOUGOU, le dimanche 23 mars 2025, au Gymnase de Capesterre Belle-Eau, lors de la journée de récollection de l’aumônerie diocésaine des hommes, sur le thème de « L’Esperance de croire en l’homme…en chaque homme », est rediffusée sur les antennes de Radio Massabielle, le lundi 24 mars 2025, à 11h puis à 17h. D’autres rediffusions de cette intervention de notre évêque à l’adresse des hommes de notre diocèse, seront programmées régulièrement sur les antennes de votre radio de la Bonne Nouvelle. Cet enseignement demeure visible également en image sur la page Facebook du diocèse jusqu’au 23 avril 2025 et prochainement il sera publié sur la chaine YouTube « Eglise catholique en Guadeloupe » afin de pouvoir être visionné sans limite.  

A propos Denis SONET, l’auteur cité par Mgr Philippe GUIOUGOU sur les langages de l’amour

Dans son enseignement, Mgr Philippe a cité le Père Denis SONET, pour illustrer son propos sur les langages de l’amour. Ce prêtre catholique né en 1926 et Denis SONET est décédé en 2015. Il a été aumônier, puis formateur de conseillers conjugaux et d'éducateurs au Centre de liaison des équipes de recherche (Cler) et auteur de très nombreuses conférences où il reprenait les thèmes de ses ouvrages sur la vie sexuelle et affective, dont « Comment réussir son couple ». Denis SONET avait identifié quatre piliers de l’amour pour une relation de couple heureuse. Il s’agit de la communication, la tendresse, la sexualité, et le projet commun. Prêtre et référence dans la préparation au mariage chrétien, Denis Sonet délivre un message qui s’adresse à tous les couples, croyants ou non-croyants. Selon l’auteur, le socle du couple réside dans l’amour de soi. Il explique que la relation de couple doit s’appuyer sur une solide fondation, à savoir l’amour de soi. En effet, disait-il, l’amour de soi est le fondement à partir duquel l’amour pour les autres peut rayonner. L’amour de soi englobe l’amour-propre, la compréhension de ses besoins et désirs, ainsi que le respect de ses propres limites. Une personne qui éprouve cet amour de soi est confiante et autonome, ce qui signifie qu’elle peut entrer dans une relation sans attendre que son partenaire comble tous ses vides émotionnels ou affectifs. L’amour de soi permet une relation où l’amour est donné de manière libre et authentique. De plus, l’amour de soi permet aux partenaires d’être plus compréhensifs et compatissants envers les défauts et les imperfections de l’autre. Ainsi, il se crée un environnement où le bien-être personnel et relationnel peut se développer de manière positive et constructive.

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Les langages de l'amour expliqués aux hommes, guide pratique - Ed. 2024 - Gary Chapman

Description : Les relations épanouies en couple ne sont pas le fruit du hasard. Elles nécessitent du travail. En lisant Les langages de l’amour expliqués aux hommes vous découvrirez comment renforcer et approfondir votre relation avec votre bien-aimée. Vous aurez un aperçu du potentiel de votre relation lorsque vous et votre partenaire parlez le langage de l’amour de l’autre. Pourtant, passer des intentions aux bonnes habitudes n’est pas toujours facile. Les Guides Chapman ont été précisément pensés pour vous aider à mettre en pratique et consolider ce que vous avez appris dans Les langages de l’amour expliqués aux hommes. Ce cahier d’exercices propose une dizaine de séances fondées sur le contenu des Langages de l’amour expliqués aux hommes. Vous y trouverez des questions interactives, des quiz, des tableaux et des diagrammes, tous destinés à vous aider à mieux exprimer votre amour pour votre partenaire. Répondez aux questions, fixez vos objectifs et apprenez à parler le langage d’amour de votre conjoint pour une relation de couple épanouie et renouvelée ! En lisant Les langages de l’amour expliqués aux hommes et son Guide pratique, vous apprendrez à parler le langage de l’autre, mais aussi à présenter des excuses et gérer la colère et les conflits.

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